Selon l’ADEME en 2022, « en France, il représente 2,5 % des émissions de gaz à effet de serre et consomme environ 10 % de l’électricité. ». Notre communication numérique se déploie à l’infini et pour accompagner sa démultiplication, des supports matériels de mobilité (tablette, IOT – Internet des Objets Connectés), smartphone,…) sont produits en nombre chaque année.
La toile est devenue gloutonne et avec elle, nos usages professionnels et personnels semblent n’avoir plus de limite. Pourtant, il est toujours temps d’agir. L’ADEME a publié un guide de la communication responsable, en 2020 et actualisé en 2022. En cette fin d’année, c’est la lecture que je recommande à tout communicant responsable.
Cette édition traite « de la lutte contre le greenwashing, de l’écoconception des supports (édition, communication numérique, événementiel, production audiovisuelle) et de la communication de crise. Elle aborde également les nouveaux récits, le combat contre les stéréotypes des modes de vie et les fake news,… » indique l’ADEME sur son site.
https://eco-communication.ademe.fr/digital-eco-responsable
Votre communication numérique responsable :
- Au-delà des impacts environnementaux, c’est toute votre éthique qui doit être engagée. Afin de réduire les inégalités (illectronisme, fracture numérique), de donner du sens à vos actions, de prévenir les discriminations (handicap, notamment) et de penser à la conception de votre numérique
- C’est aussi de protéger votre « intimité numérique » en s’interrogeant sur qui peut avoir accès à vos données personnelles. Les métacartes « Numérique éthique » éditées par la SCOP Ozon aident à réfléchir pour se réapproprier notre numérique.
Crédit photo : Photo by Petr Magera on Unsplash
Catégories :
Communication digitale
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